Le cas Noisette

Je suis heureuse de partager avec vous mon premier coup de cœur sur ce blog. C’est tout naturellement qu’il s’est porté sur le petit prodige du moment : Cédric Grolet.

Vous ne le connaissez ni d’Adam ni d’Eve, on vous pardonne... enfin pas sûr. Bon si vous voulez vous rattrapez, courrez sur son Instagram, attention, vous allez saliver.

Où en étions-nous ? Ah oui LA noisette.

Depuis des mois de contemplation sur mon fil d’actualité, un échec lors de la première mise en vente dans la boutique Fou de Pâtisserie, enfin, je l’ai goûté !

Un mot : sublime.

Si Michalak est la rockstar de la pâtisserie, Cédric Grolet lui vient de décrocher le titre du « Léonard De Vinci » de la pâtisserie.

Toutes plus belles et alléchantes les unes que les autres, la noisette est de loin sa création qui me faisait le plus saliver.

Si belle que j’ai presque (je dis bien presque car la gourmandise est mon vilain défaut) eu du mal à la casser. Car oui, la particularité des desserts de ce talentueux chef, c’est qu’ils doivent se casser d’un coup de cuillère pour laisser entrevoir ce qui se cache à l’intérieur.

Une mousse onctueuse, un praliné à s’en damner, un caramel qui en ferait pâlir nos chers bretons, bref une combinaison qui laisse sans voix.

Pour avoir eu la chance de goûter au merveilleux Tea Time du Meurice, je peux vous assurer que ce chef n’a pas volé son titre de meilleur pâtissier !

Si vous n’avez encore jamais eu l’occasion de goûter à ses merveilleuses créations, je ne peux que vous encourager à vous faire plaisir (une fois de temps en temps, ça ne fait pas de mal).